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Foëhn - Foëhn - Foëhn
C’est à peine si l’on sent
Le parfum de printemps
Qu’il entraîne
Cette haleine si longtemps
Colorée méditerranéenne
C’est son souffle pourtant
Qui met du vert dans le blanc
Des moraines
Je sens le foehn, foehn, foehn
Qui caresse toute ma vallée
Quelle que soit la latitude
Du Mont-Blanc jusqu’aux Écrins
Peu importe l’altitude
Des bords du Léman au Cervin
Il chante sa solitude
Des Dolomites au Tessin
C’est un air qui vient du sud
Pour donner chaud aux Alpins
Venu des bords de la mer
Par dessus le Galibier
Grand Saint Bernard ou Brenner
Sans se laisser arrêter
Il ne connaît ni frontières
Ni papiers d’identité
Paroles et musique: André Lachenal
Foehne - André Lachenal
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Fayard
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